Bar à huîtres
Chez Jeannot (1, rue Bayard et place des Carmes)
Menus : 12-25€
On y est d'abord allé pour la plus belle sélection d'huîtres de la ville à emporter, on s'y attable désormais volontiers pour prendre le temps de savourer des produits de la mer au top de leur forme (l'hiver au chaud rue Bayard ou aux beaux jours sur la terrasse de la place des Carmes).
L'Annexe (42, rue Pharaon)
Toulouse l'espagnole, ville des apéros tapas ? Ils sont finalement rares les endroits où cette atmosphère n'est pas refroidie par ce que l'on vous sert à grignoter. Outre les fruits de mer de première fraîcheur (huîtres, saumon fumé, moules à la plancha...), d'honnêtes agaceries (foie gras, charcuterie espagnole...) nous sont servies. La carte des vins judicieusement achalandée permet de prolonger l'apéro jusqu'à pas d'heure.
Haute-cuisine
L'Amphytrion (chemin de Gramont, 31770 Colomiers)
Menus : 30-120€
On triche un peu puisque on sort de Toulouse mais on est presque prêt à y aller à pied tant la cuisine de Yannick Delpech nous bluffe à chaque coup, créative voire ludique parfois mais toujours cohérente et époustouflante de maîtrise.
En Marge (8, rue Mage)
Menus : 30-120€
Ambiance feutrée et cadre intimiste mais accrochez-vous au bastingage, ça va secouer ! L'imagination de Franck Renimel ne connaît aucune limite et sa cuisine en est le reflet (cela peut en dérouter certains...). Le reflet également d'un talent en devenir qui est en train d'exploser.
Le Metropolitan (2, place Auguste Albert)
Menus : 23-85€
C'est vrai, il faut vraiment vouloir s'aventurer dans cette zone résidentielle sans charme mais la cuisine de Jérémy Morin mérite ce détour. C'est un cadre pop-chic gentiment branchouille pour une cuisine droite dans ses bottes et ses classiques avec juste ce qu'il faut pour la mettre au goût du jour. Lu comme ça, ce n'est peut-être pas assez engageant mais promis, c'est top!
Michel Sarran (21, bd Armand Duportal)
Menus : 44-125€
Tout a déjà été dit ou écrit sur Michel Sarran ou le parrain de la gastronomie toulousaine : le talent, la créativité, la virtuosité... Tout cela est vrai et un repas chez Sarran assurément vous ravira. Dommage toutefois, que la fête soit (un peu) gâchée par un cadre pompeux pseudo moderno-bourgeois.
vendredi 19 mars 2010
Inscription à :
Articles (Atom)